Dans « Choisir la France, c’est d’abord la défendre » (Le Figaro du 26 janvier 2018) Ivan Rioufol écrit :
« La reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, une évidence, a mis en lumière la soumission de l’Union européenne à l’islam conquérant, dans une dhimmitude finement analysée par Bat Ye’or dans ses descriptions de l’Eurabia. “Je crois sincèrement que cette Europe politique est irrécupérable”, écrit-elle dans son autobiographie (1). »
(1) Bat Ye’or, « De la découverte du dhimmi à Eurabia », Les provinciales.
Il rappelle que : « C’est sous l’influence de la Coopération euro-arabe, depuis longtemps dénoncée par l’essayiste Bat Ye’or, que des pays d’Europe se sont pliés aux exigences islamiques. Comme le rappelle Pierre Rehov (FigaroVox), la Suède a pris la tête de cette capitulation : elle voit par exemple une “incitation à la haine” dans l’utilisation du terme “terrorisme islamique”. Le journaliste allemand Michael Stürzenberger a été condamné à six mois de prison et 100 heures de travaux d’intérêt général par le tribunal de Munich pour avoir publié sur sa page Facebook une photo du grand mufti al-Husseini en compagnie d’Hitler ; le journaliste a été déclaré coupable “d’incitation à la haine envers l’islam” »… et à Paris, « l’assassinat de Sarah Halimi, défenestrée en avril 2017 par un musulman hurlant “Allah akbar”, a été occulté avant que la justice n’accepte de reconnaître, onze mois après, l’évidence de l’acte antisémite… »