« Millet a disséqué la séculaire division des sexes : amour, séduction, mariage, scènes, trahison, rupture, haine, etc. Il montre que le mystère doit prévaloir entre deux individus attirés l’un par l’autre, un mystère dont l’essence, malgré nos efforts, échappe. Et pourtant, il demeure essentiel au couple, même défait : La condition du veuf n’est donc pas la fin de la joute, écrit Millet ; elle pérennise le mystère du mariage jusque dans la mort, et après celle-ci… » (…)