« Un roman de politique-fiction très réussi, qui imagine la fin d’Israël. Vaincu par la géopolitique du XXIe siècle, l’État né des cendres de l’Holocauste, est rayé de la carte, et ses six millions d’habitants repartent en diaspora. Pseudonyme de Sarah Vajda, dont nous avons déjà apprécié les trois romans Contamination, Amnésie et Le Terminal des Anges, ainsi que ses brillantes biographies de Barrès, Jean-Edern Hallier ou Romain Gary. Repenser toute l’Histoire d’Israël à la lumière crépusculaire de sa disparition est un tour de force, accompli avec un brio tout particulier… »
Jacques Astruc, publication du Comité des bibliothèques parisiennes.