Quand un éditeur catholique français publie des livres exceptionnels

-Michel Gurfinkiel


Une maison d’édition qui mérite de sortir de la confidentialité

-Paul-François Paoli, Le Figaro


Un de ces petits éditeurs qui sont, souvent, l’honneur de ce métier

-Bruno de Cessole, Valeurs actuelles


Depuis plus de quinze ans, l’éditeur Olivier Véron fend l’écume de la production littéraire française avec une discrétion et une constance admirables, portant des œuvres d’une exigence, d’une acuité sans pareilles.

-Gédéon Pastoureau : « Les provinciales fendent l’écume de la production littéraire française… »


La pierre de touche indispensable

-Arthur Cohen, Hermann éditeur des arts et des lettres


Aux responsables de la revue “Les provinciales” :

Je lis toujours avec beaucoup d’intérêt les textes publiés dans votre revue.
Je me manifeste, cette fois, pour vous dire que cette “honte” que vous évoquez dans votre dernier numéro, je la partage, avec quelques proches, tout à fait. Le “milieu” intellectuel, artistique, littéraire, s’est considérablement discrédité à mes yeux (à quelques exceptions près !) Les politiques, n’en parlons pas J’ai compris, à la lumière des événements actuels ce qu’avait pu être Munich et Vichy…

Bien à vous

-Jacques Henric, Art press


Pierre Boutang fut, grâce à vous, une des révélations majeures du tournant de ce siècle.

-Maurice G. Dantec


Une bouffée d’air frais…

-Georges Bensoussan


Les provinciales, sous forme de lettres confidentielles au rayonnement cependant certain, ont fait du travail d’écriture de quelques-uns le véritable visage littéraire d’une France défigurée.

-Juan Asensio, Le Stalker